Le 25 juillet

Numéro trente cinq, 1983 (photo la Tate)

« Â […] pourquoi personne n’a-t-il remarqué la contribution de Margaret Mellis àl’art anglais ?  »
demande Damien Hirst, catalogue de l’exposition 2001

Margaret Mellis (1914-2009)

L’Écossaise Margaret Mellis entre àl’École d’art d’Édimbourg en 1929 où elle reçoit deux prix ; elle continue ses études àParis, avec André Lhote, puis visite l’Italie et l’Espagne. Après son mariage avec l’artiste Adrian Stokes en 1938, elle se rapproche de la communauté d’artistes de Saint Ives. Son second mariage en 1948 est suivi d’un long séjour sur la Côte d’Azur où elle fréquente les artistes français.
Mellis est une « Â exploratrice  »Â : peintre très sensible aux couleurs, elle peint des compositions géométriques abstraites, puis s’aventure dans des collages constitués de divers matériaux –papiers, laine, fil, objets récupérés- et achève son exploration par des constructions en relief –bois peint-. Son Å“uvre se caractérise par le choix très personnel des couleurs et leur combinaison délicate ainsi qu’ un travail de recherche permanent sur l’espace et les formes.
De 1958 à2001, les expositions personnelles se succèdent en Grande-Bretagne.


Construction en bois flottant, 1997 (photo Artcornwall.org)


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